Cinéma : Jacques AUDIARD – De rouille et d’os (2012)

Et je continue mon week-end cinématographique par le dernier Jacques Audiard, vous savez, le fils de Michel mais en beaucoup plus grave (je n’ai pas dit plus profond). La première chose que j’en dirai c’est que noir, c’est noir. Une histoire dramatique, très forte, avec des personnages mutilés dans leur corps. On ressent physiquement le film, je trouve, et l’angoisse ne nous lâche pas.

Les deux interprètes principaux sont excellents, notamment en raison des rôles durs qu’ils doivent assumer.

Quelques longueurs quand même dans ce film qui aurait dû être nettement plus puissant vu le scénario, un peu improbable au passage, que Jacques Audiard fait pourtant exister sous nos yeux. Je reste mitigée : de tant de violence aurait pu naître plus d’humanité que ce que le film donne à voir.  Tout ça pour ça…

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